Périples de la Caravane

En route vers la Capitale des Gaules

Le Maréchal s’était levé très tôt ce matin et ses malles étaient bien arrimées sur l’un des chariots qui composait le cortège.
Vers les six heures, il se présentait devant le portail des Tuileries et fit ordonner à l’un des gardes de prévenir la Duchesse de Toscane que le départ allait être donné.

La caravane se composait de trois chariots, d’une trentaine de Cavaliers dont douze faisaient partie des meilleurs hussards de la grande armée choisi de part leur professionnalisme
par Eugène de Beauharnais, qui savait s’entourer des meilleurs, ayant été lui-même éclaireur à cheval dans cette unité.

Il avait de plus la charge de la sécurité de la Duchesse, sa future et sœur de l’Empereur.

Lorsqu’il aperçu la jeune femme, Eugène lui fit un clin d'oeil avant de sauter de sa monture pour venir l’embrasser.
Peu importe le protocole dont il n’avait que faire à cet instant.

Bonjour à vous, ma chère Pauline, avez-vous passé une douce nuitée ?
Je suis vraiment désolé de vous faire décoller aussi tôt ce matin, mais nous avons pas mal de route, et je ne pouvais faire autrement.

pauline accompagner du garde arrive enfin au cortège..

a bonjour mon cher ami

me voila enfin

j étais prête mon ami lui dit elle en souriant

elle c était habillé en raison du voyage d une robe de voyage et d un manteau gris souri et d une cape doublé de soie rose,
et sa tête coiffée d une capeline entourés d une mousseline serré a son cou et avait mis des bottes car elle espérait bien ,
faire un bout de chemin a cheval près du Maréchal ,..

mon ami j espère que je ne suis trop en retard lui dit elle en lui rendant son baiser ,

puis monte dans la 3eme calèche comme lui avait recommander le Marèchal ...

Tous étaient présents à leurs postes, les Hussards de la garde rapprochée du Maréchal en avant poste, juste derrière lui.
Le trompète fit raisonné son clairon annonçant le départ de la caravane.
Celle-ci composée de deux chariots de six chevaux, de la Calèche de Impériale, suivie des trente Cavaliers de la Grande Armée, dont dix était affiliés à la sécurité de la Duchesse et sa dame de compagnie.

Le cortège avançait dans un vacarme bourdonnant de roue de chariot et de sabots sur les pavés qui tapissaient les ruelles de la Capitale. Quelques habitants se sortirent de leurs habitations, intriguées par le bruit, et admirant les uniformes passant sous leur fenêtres.

Eugène avait revêtis son habit dolman vert de parade pour l’occasion.
Tout les Garnisons de la Grade Armée se devaient de paraitre impeccable en toute circonstance, jusqu’au champ de bataille, le Ministre y tenait allègrement car il songeait qu’elles devaient avoir les bons outils pour développer du bon travail.

Ce fut le début d’une entreprise de quatre jours, et ce à cheval.

Enfin le cortège s ébranle

Pauline c était installé dans la calèche, le Marèchal avait bien préparée celle-ci avais fait mettre quelques coussins..

Maria la gouvernante demande a Pauline

Madame veut elle que je l aide a enlevée sa capeline ?

a oui je le veux bien maintenant que nous sommes partie plus besoin,
merci Maria ,

oups on est bien secoué sur ces pavés , pense t elle

Pousse un peut un rideau qui est devant la fenêtre pour regarder la ville de Paris a cette he[/color]ure ..

le soleil commençait a se levé...

et elle regardait le peuple déjà debout qui regardait le cortège passé.

puis repoussa le rideau et s appuyas sur le dossier ..

sourit et pense qu elle vas voir enfin ou vie son cher Eugène....

Le convoi venait tout juste de sortir de la région de l’Iles de France et entrait en Bourgogne.
Suivant le chemin de hallage de l’Yonne menant jusque dans la ville d’Auxerre une bourgade de dix mille habitants.
Le cortège fit une pause d’une soirée dans une petite auberge ou il avait l’habitude de s’arrêter lors de ses excursions mensuelles sur Paris.

La bâtisse possédait, en son arrière cour, un abreuvoir ainsi qu’une écurie pour les chevaux, tout était sur place afin de rendre l’intermède fort agréable.

Eugène descendit de Nérin, l’attachais vers le point d’eau et se dirigeait vers la calèche de la Duchesse, il ouvrit le portillon et s’adressait à elle avec ses mots.

Pauline, nous somme arrivé ma Douce, notre première étape est terminée.
Vous allez pouvoir prendre du repos pour la nuit.

Pauline sourit quand la porte de la calèche s ouvre, tend la main au Marèchal, pour descendre ..

Merci mon ami, ho la cela fait du bien de pouvoir marcher un peut

Ou somme nous ? c est ici alors que nous allons passer la nuit,??

Pauline frissonne , il ne fait pas très chaud la, Prend le bras d Eugène qui la mène vers l auberge ....

[i] Regarde sa gouvernante,

Maria allé voir à l auberge ou son nos chambres et faite menée ma malle, la plus petite ..

Alors mon ami cela c est t-il bien passe sur la route ? avez vous eu des nouvelles de l empereur ?j ai vue un cavalier passé a bride abattus

Et bien ma Chère Duchesse, nous sommes à Auxerre, et voici l’auberge ou je fais halte, lors de mes déplacements pour la Capitale, vous verrez, elle est sans défaut,
les nuits y sont fortes agréables, et très pratique pour les Cavaliers et leurs montures.

Eugène se retournais vers les cavaliers, leur donnant quartier libre pour les huit heures avenir.
Le régiment savait pertinemment qu’il avait encore du pain sur la planche, brosser les chevaux, leur donner quelques fourrages ainsi que de l’eau et du sel.

Puis il accompagnait la jeune femme dans les locaux de la bâtisse ou ils pourraient se détendre, se restaurer, et prendre du repos, la nuit allait être très courte,
le convoi reprendrais tôt le lendemain matin.

Hier au soir Ils étaient arrivé dans une grande salle à manger clair et net et très agréable, cela sentait bon la cuisine, une grande cheminée était allumée, et l on voyais des poulets entrain de cuire a la broche.

Et bien maréchal je crois que cet endroit est très bien , vous avez bon goût mon ami !!
mais elle savais que son fiancé ne l aurais pas emmené dans un endroit trouble.

Le Maréchal et Pauline avait mangé dans la grande salle, Pauline avait manger juste un blanc de poulet et des fruits, elle était fatigué et n avais guère faim, après avoir dit bonsoir au Maréchal c était retirée dans sa chambre.

Pauline c était réveillé en sursaut ce matin par des bruits de sabots et des hennissements de chevaux dans la coure.
Saute de son lit,

Appelle sa gouvernante vite Maria donné moi mes vêtements,
Le maréchal va m attendre il a bien préciser qu il voulais partir tôt.

La gouvernante s active car elle sait que la duchesse n aime pas attendre et faire attendre

Pauline s habille d une robe de voyage bleue roy et rose ainsi que d un manteau bleu et d’une cape qu elle met sur son bras et ce coiffé d une capeline sur ces beau cheveux toujours bien coiffé..
Prête à partir la duchesse sort de sa chambre et vas dans la salle attendre le Maréchal.

Les lueurs du jour commençaient à peine à pointées le bout de leurs nez, alors que le convoi était fin près à repartir sur les chemins menant jusqu'à Lyon.
La Duchesse attendait dans la salle d’accueil de l’auberge, parée de ses effets de voyage, attendant le Maréchal qui une fois les préparatifs achevés, la retrouvait enfin à l’intérieur de la maisonnée.

Avez-vous passé douce nuit, ma chère Pauline ?
Je n’ai moi-même pas fermer l’œil de la nuit, je n’ai pas pour habitude de voyager avec tels soucis de sécurité, habituellement c’est sur moi que l’on veille voyez vous.

Puis le jeune couple prit la direction de la sortie, Eugène aidait les deux dames à monter dans leur calèche.
Au bout de trois heures de route caillouteuse, alors que tout s’était bien passé sur le début du trajet, un craquement se fit entendre à l’arrière des cavaliers dans le brouhaha des sabots. L’une des roues venait de sortir de son essieu terrassant le chariot de munition, ce qui eu pour effet de stopper le convoi.

Bonjour mon cher Eugène, la nuit fut très courte en effet lui dit elle, mais c était si calme pendant une période de la nuit que j ai eu du mal à me réveiller si les bruits des chevaux dans la cour ne m avait réveillé.
c est moi mon ami qui vous donne tout ce soucis. J en suis désolé.

Tout en parlant Eugène avait conduit Pauline jusqu au carrosse, lui tend la main et l aide à s installé,
Merci Maréchal Pauline lui sourit !!

Puis tout le cortège ce met en route,
Et d un seul coup le cortège s arrête, ola qui a-t-il
Pauline regarde par le fenêtre de la portière du carrosse, mais ne voit rien mais entend des cris,

Au mon dieu que se passe t il je ne vois rien.

Puis s adressant a sa gouvernante,
aller voir Maria ce qui ce passe.

Oui Madame la duchesse j y vais de ce pas , et elle descend du carrosse et cour voir !!
[i
]Pauline inquiète ce demande ce qui a bien pus ce passé, attend avec impatience la gouvernante, des cris et des jurons partaient de toutes part

Puis Maria la gouvernante revient, Duchesse ne vous inquiété pas c est un chariot avec du matériel qui est sur la bas coté, je pense que c est une roue cassée.

A merci Maria je suis un peut rassurée.

Pauline pense au Marèchal , quel ennui pour lui.

Le Maréchal stoppait net son avancée, et se dirigeait vers le chariot, accompagné de deux hussard qui le suivait dans tout ses mouvements ou presque.
Il fit venir le menuisier, un cavalier formé pour les avaries de la sorte, n’ayant nullement besoin de lui signifier ses taches, le professionnel se mit de suite au travail afin de réparer la chose
attirant sur le fait qu’il en aurait pour moins d’une heure.

Eugène avançait vers la calèche de la Duchesse pour la mettre au courant du problème.

Nous allons avoir quelques temps de retard sur l'heure prévue Pauline, voulez-vous m'accompagner pour une petite ballade,
celà nous dégourdira un temps soit peu les jambes ?

Après avoir écouté le Maréchal.

A je suis soulagé mon ami je me demandais ce qu il ce passait,

Oui un petit tour dans la campagne en votre compagnie me seras fort agréable et me dégourdiras les jambes répondit- elle a la proposition du Maréchal, met son bras sous celui du Maréchal, et partirent a petits pas…
Elle regarde le Maréchal sans rien dire,
Avec cet avarie je me demande si l Empereur ne vas pas arrivé avant nous pense t elle ?

Ils se promenèrent un petit moment, la campagne était belle à cette époque et en plus il faisait beau, Pauline pousse un soupir, elle se sentait bien au bras de son cher Eugène, le regarde de coté, il ne disait rien, elle le sentais préoccupé, pense que si elle était partie avec son frère, Eugène ne serais pas ennuyé avec sa personne, il serais sûrement déjà arrivé a Lyon

Pauline et Eugène c étaient promenés main dans la main, il faisait un temps magnifique.
[i]Pauline était en fait contente de ce contre temps, cela lui permettait d être un peut avec son fiancé, car a Lyon elle pensais qu il serait fort occuper et qu ils auraient peut être pas trop l occasion d avoir des têtes a têtes. ils arrivèrent près d un petit muret,

Pauline dit tient, un petit arrêt serais bien qu en penser vous mon ami ? elle lui sourit et s assoie sans attendre la réponse.

.....

Ne vous inquiétez pas ma chère Pauline, nous n’arriverons seulement qu’avec une petite heure de retard.

Eugène tenait la jeune femme par la main depuis une vingtaine de minutes, ils approchaient lentement d’un petit muret de pierres qui devait servir de clôture à une ancienne vigne, de vieux sarments tout secs essayaient tant bien que mal de s’accrocher à la vie.
Soudain la jeune femme s’arrêtait, s’installant sur le muret en lui souriant.

Si vous le désirez faisons une petite pause nous avons le temps.
Seriez-vous déjà fatiguée Duchesse ?

Pauline le regarde,
Moi fatiguée au non pas du tout,
lui fait un petit sourire,

tapote de la main le mur venez donc vous asseoir a coté de moi, vous me dite que nous avons le temps, il fait si bon et l aire est embaumé,
puis se lève, et vas vers les vieilles vignes, ho regarder mon ami il y a quelques grappes de raisin,

elle en cueille une grappe et se met a la grappillé du bout des lèvres, s arrête ne dit plus rien pendant un moment, regarde le Maréchal du coin de l œil.

Ne pensez vous pas que nous somme bien la, mais si vous le voulez nous pouvons repartir il est peut être l heure ?
[b]

Suite à l’invitation de la Duchesse, Eugène s’installait à coté de la jeune femme, prenant soin de ne pas froisser son pardessus gris.

Effectivement, nous somme très bien ici, c’est un endroit fort agréable.
Pour le départ nous seront averti par le son du clairon, ne vous inquiétez donc pas pour si peu, et si vous désirez, nous pouvons rester ici plus longtemps.

Eugène admirait la jeune femme crapahuter entre les pieds de vignes, et pensait qu’elle insufflait en sa vie de militaire un air de grand bonheur qu’il n’avait jamais ressenti.
Il n’avait jamais été plus épanoui que depuis sa rencontre devant sa future auberge, l’Auberge Impériale.

S’approchant d’elle, il posait ses mains sur les hanches de la belle, la soulevait afin de lui faire décoller les pieds du sol, et la fit tournoyée à en perdre la tête,
lui avouant tout les sentiments qu’il éprouvait depuis qu’elle était entrée dans sa vie.

Le clairon les avait appelé , Pauline était heureuse elle avais passé un moment formidable avec Eugène , il lui avais dit tout ce qu il ressentait pour elle depuis qu il l avait vue a l 'AUBERGE DE L EMPEREUR c est vrais qu il l avait charmé lui aussi, il était des inconnue l un pour l autre mais déjà une petite étincelle, avait jaillit entre eux,

Et la quel bonheur ce moment dans les vignes, elle en voulais presque au clairon d avoir sonné leur retour. Vite il l avais reconduit a la calèche, car il devait repartir vite pour regagner Lyon..

Elle se sentait folle amoureuse de son Maréchal, et la maintenant dans la
Calèche pensais a ce doux moment elle souriait béatement

Lors que la Duchesse s’installait en sa calèche, le convoi repris la route stoppé par les aléas des terrains de campagne. Eugène repris la tête de la caravane avec à ses cotés,
toujours ses deux aides de camps, pour lesquels il avait une forte estime, l’estime que l’on ne peut vous accorder que lors des retours du champ de bataille,
il les avait choisi parmi les meilleurs des meilleurs cavaliers de son unité.

Poussé par l’officier, le trajet des aventuriers arrivait à son terme, étant à quelques lieues de cette si vivante ville de Lyon.
Il ne restait qu'une grande prairie de plusieurs lieues à traverser.

Eugène se retournant en queue de peloton envoyait ses ordres d’un ton sec.

Palefrenier, apportez moi de suite le présent de la Duchesse, il est temps.

Les soldats s’ordonnait et apportait, tenue par une bride, une magnifique jument de couleur blanche apprêtée pour l’occasion de boules et de tresses formées par sa crinière.
Eugène regagnait le carrosse de la Duchesse, arrivé à sa hauteur. Le jeune homme s’écriait-il faisant fi du protocole une fois de plus.

Pauline, Mon coeur !!!!

Pauline en entendant Eugène l appeler, sortie la tête de par la fenêtre du carrosse, et le vois avec un cheval qu il tenais part la bride,

Fait signe au cocher d arrêter le carrosse s arrête d un seul coup et Pauline se retrouve a plat vente sur le siège arrière,
Hou lala, se relève et descend de la voiture toute étourdie
Est un peut dépeignée remet ces cheveux en place et se retourne vers Eugène tout sourire et bien mon ami dite donc, sa c est une surprise,
Elle regarde le cheval il est magnifique, quel belle monture et blanc j adore !!

" Chuchote mon chéri merci beaucoup et lui donne un baisser sur les lèvres quel plaisir vous me faite "

Dites moi comment il s appel ?

mais n attend pas met son pied a l étrier s'installe sur la selle et part , aller vas mon ami, le cheval sentant qu on lui pique les flancs part aux galop, Pauline les cheveux au vent,

Aller Eugène on y vas merciiiiiiiii a vous, debout sur les étriers les cheveux au vent cela me manquait tellement lui cria t elle .

Eugène vit Pauline sortir du carrosse un poil ébouriffée, ce qui laissait sur son visage un petit air amusé. A peine fut elle descendue, qu’elle embrassait le jeune homme qui s’était incliné pour recevoir ce baiser fulgurant.

Hé bien ma chère Pauline, ce cheval est une Dame je suis désolé…
Elle se prénomme Vannye.

Allez y doucement Altesse, je ne voudrais pas vous voir vous blesser, et l’Empereur ne me le pardonnerait surement pas…Comme vous pouvez vous imaginer…

Dit-il en galopant à ses cotés, le Maréchal riait de la voir tellement heureuse.

Elle tira sur les rennes ho,ho ma belle, elle lui tapota l encolure,

Voila regarde le maréchal,

vous saviez comme vous me faite plaisir, je nous voyais approcher de Lyon et que je ne monterais pas.

Pauline mit sa jument a la hauteur du Maréchal et continuèrent a chevauché cote a cote,
Pauline souriait à son fiancé,

Puis elle regarde Eugène,

et lui dit vous savez me rendre heureuse mon ami.
ho regarder on est presque arrivé , quel dommage j aurais voulu que le voyage ce prolonge.

Mais mon chéri je voudrais vous remercié pour ce bel animal et puis se voyage que je n oublierai pas..

Le Maréchal vit la Duchesse s’arrêter tout près de lui et de Nérin son palefroi qu’il avait reçu dès son entrée dans la compagnie des hussards.
Il admirait la noblesse de la jeune femme toute heureuse de pouvoir un peu galoper sa jument Vannye. Il lui avait laissé quelques instant de liberté, ce qui aurait surement déplus à l’Empereur coté sécurité, mais l’endroit était sur, et il veillait quand même sur elle.

Que ne serais-je pas près à faire pour toi.

Lui chuchotait-il pour ne pas encore une fois manquer au protocole, la situation ne pouvait être autre, et le Maréchal sentait ce qu’il pouvait s’autoriser avec Pauline, et à quel moment il pouvait le faire.

Votre bonheur est mien Duchesse !!!
Je ne suis pas près non plus d’oublier cet excursion ma Chère !!!
Fesons un dernier galop ensemble afin de retrouver le convoi, voulez-vous ?

Pauline fait signe de la main au Maréchal fait faire demi tour à sa jument

Aller ma belle on y retourne,

Et passe au grand galop devant Eugène en riant, arrivé devant le carrosse elle tire sur les
rennes, ho ho ma belle, et légère comme une plume saute a terre.

Voila mon cher ami je vous remercie de m avoir laisser galopé un moment, cette jument est merveilleuse, merci pour ce beau cadeau..
Puis tout en parlant monte dans le carrosse, et ait signe au Maréchal de la main a tout a l heure mon ami.

Une dans le carrosse elle dit a sa gouvernante ;

Maria aidé moi a me repeigner car je suis toute décoiffé et puis remettre ma capeline, voila bon maintenant un peut de poudre et de rose aux lèvres, brosser donc un peut mon manteau que je n arrive pas toute défaite a Lyon..

puis enfin prête se cale sur les coussins du carrosse et ferme les yeux avec un sourire au coin des lèvres .

Le Maréchal regardant la Duchesse, lui fit un clin d’œil en portant sa main gauche à son bicorne afin de lui faire un petit signe, un petit défaut de sa profession surement.

A tout à l’heure Duchesse...
Cette ballade en votre compagnie fut un réel plaisir ma Chère.

Répondit-il, suivant pour une fois ce cher protocole, ce qui ne manquait pas de faire sourire plusieurs des Cavaliers l’accompagnant.
Peut être furent ils heureux pour leur officier, ou se moquaient-ils sans grande méchanceté, allez donc savoir.
Il était de coutume de se charrier chez les Hussards, lorsque l’un d’eux comptait fleurette à gentes Dames.

Le convois reprenait les chemins menant quelques lieues plus loin devant le portail du domaine d’Eugène à Lyon.

Domaine de l' Espérance