En route pour LYON

Napoléon en tenue de voyage, Bicorne et Redingote grise attendais, la main dans son gilet son habituelle manie, contrarier et perplexe sur la place que le maréchal général murât se montre pour enfin l'invité a prendre place dans une voiture avec escorte.

une missive lui avait pourtant bien été envoyer la veille ainsi qu'au petit matin pour qu'il se tienne prés mais rien, il n'avait rien eu, aucune nouvelles, aucun mots, aucun messager. il fallait bien se dépêché, on ne pouvais pas faire attendre l'empereur.

le personnelle de maison des tuileries s'affairait a porter ses lourdes valises, certaine y était remplis de livres, les préférer de l'empereur, d'autre de vetements protocolaire, des changes, un deuxième exemplaire de son uniforme de grenadier, et un un nécessaire de toilette. tous attendais le maréchal, soit pour charger les bagages dans la voiture,d' atteler les chevaux, et bien sur de prendre la route

"Mais que fait Murat, il est en retard,Si il mène une cavalerie avec brio, il n'est point en avance, on n'en na fusiller pour si peut " grognait t'il a l'encontre d'un de ses valets qu'il feignit d'entendre sans avoir avec peine aucune réaction.

De suite il appela un messager qui se tenait tout prés: "Allez me le chercher, et faite venir le maréchal général de la veille gardes, qu'il choisie une dizaine d'homme a cheval et qu'il se tienne prêt a partir dans l'instant, si ce murat ne se montre pas dans 1h00, nous parton sans lui, allez !!!"

la diligence impériale arriva avec dix soldats à cheval de la garde rapprochée de la vieille garde.....

charles était devant l'attelage sur son propre cheval et ouvrait la marche, il vit l'empereur attendant l'air stressé par quelque chose ou quelqu'un.

Messire, voilà votre diligence, nous sommes prêtes à partir, j'attends vos ordres.

"vous voila, il manquait plus qu'un miracle pour que j'arrive a destination, ce maudit murat paieras de sa personne, croyez moi"

il fit le tour de la diligence ainsi que les chevaux d'attelages, caressa l'un en l'étudiant et revin prés du Maréchal pendant que les domestiques chargeais la voiture

"feront nous halte pendant le voyage, maréchal? il me tarde d'arrivé, j'ai assez perdu de temps, comme si l'empire pouvais attendre. "

il avait des chose a faire, notamment écrire a son mamelouk du a son retard, que les préparations a la villa melzi devais être retardé, voir même ajourné. Un passage éclaire sur Lyon ne serrait pas judicieux, il fallait au moins y explorer quelque méandre de la cité et rencontrer quelque habitants, voir en felicité quelque un.

les chevaux hennissait, les cavaliers étaient sur leur garde a vous, le ciel gris de paris commençais a se faire menaçant, il fallait partir. Dans sa poche intérieur gauche il avait soigneusement pris soin de ranger son livre en format de poche prise dans sa collection personnelle, un excellent récit de pierre corneille, Œdipe. il l'avait deja lut mais il ne pouvais s'empêcher de détourné son regard de la panser qui transpirais de se dramaturge.

ne vous en faites pas impérator, votre diligence à été fabriquée pour les longues distances de courte durée.

En effet nous pouvons aller d'est en ouest de la France en 48 heures sans haltes, alors pour Lyon si tout va bien nous y seront en une journée.

"bien, dans ce cas nous partons sur le champ"

il montât le marche pied de la diligence, s'installa sur la banquette capitonné et le convoi s'ébranla.

le voyage se passa bien, l'empereur sera à Lyon dans peu de temps.....

Messire,

nous venons d'entrer en Bresse. Si notre avancée se maintient vous serez à Lyon dès ce soir.

l'empereur, assis confortablement dans sa voiture, lisant depuis déjà quelque heurs entendit la voix du maréchal en dehors a travers le vent qui soufflait legerment, le bruit des roues sur les pavé freinait un peut plus le son audible du brave général en tête du convois qui trottait déjà depuis un bon moment.

"Merveilleux mon brave, merveilleux, arrêtons nous a la première auberge qu'on trouvera sur la route, nous nous restaureront et repartirons dés que les chevaux seraient suffisamment reposé"

il corna un bout de page du livre, le referma et le posa sur la banquette a coté de lui, et vérifia l'heur sur sa montre gousset attaché a une petite chainettes argenté, il n'était pas vraiment tard, un début de fin d'après midi, il n'avait pas vue le temps passé. Ni trop top, son retard avait été rattrapé de justesse et a cela les préparatifs sur Lyon serait prévue a l'heure.
[i]

nous sommes à Lentilly, il devrait y avoir une bonne auberge, nous nous trouvons dans le domaine du beaujolais Monseigneur.

charles regarda dans les environs, les chevaux avaient ralenti le pas et après cette course ils leur fallait une pause.
Une auberge se présenta sur la droite après quelques minutes de recherche icelieux.......

Arrêtons nous céans messieurs, pied à terre !

charles posa son pied à terre en dernier et rejoint aussitôt la diligence.

Messire, nous sommes arrivés devant une auberge, aux premiers abords elle à l'air satisfaisante.

J'ai envoyé un soldat inspecter le rez de chaussée, nous inspecterons le reste une fois sur place.

le maréchal général Murat arriva aux porte de la Bresse et y trouva l'empereur et la garde de la veille comme lui avait ordonner l'empereur par missive ,en tête de ses hommes il se jura de satisfaire l'empereur et surtout que le ne le reprendrais plus a être avertis au dernier moment de tous déplacement de l'empereur

pieds a terre soldats nous serons en renfort d'escorte mettez vous en position pour securiser les lieux un tour de garde toute les heure jusqu'au depart de l'empereur 10 premiers cavalier a la garde et ensuite second tour les 10 autres pendant que les premiers se repose et surtout laisser les soldats de la garde de la veille se reposer ils on fait de la route sa les reposera que l'on reprennent la surveillance avant le départ pour ma part je vais aller prendre mes ordre vers l'empereur

Murat était pensif a la réprimande de l'empereur ,il alla voir si l'empereur pouvais le recevoir

après avoir fait sécuriser les lieux de l'auberge, charles escorta l'empereur dans ses quartiers avec les meilleures victuailles des lieux, deux soldats de la vieille garde soigneusement choisi par le maréchal furent postés de chaque côté de l'unique porte de la chambre impériale.....

soldats je compte sur vous.

n'ayez crainte maréchal, nous veillons.

bien, je vous laisse alors.

charles descendit du premier étage rendre compte au reste de ses soldats et alla à la rencontre de murat le maréchal général de la cavalerie.....

ah, maréchal murat, je vous ai vu en arrivant à l'auberge, comment allez vous ? avez vous bien voyagé ?

l'empereur est au premier étage de l'auberge dans la chambre numéro sept celle que vous pouvez voir de l'extérieur par sa terrasse. Il vaut mieux que je vous accompagne, les deux hommes que j'ai placé ne tiennent pas compte du statut social et hiérarchique du visiteur, ils ne rendent compte qu'à l'empereur et à moi même.

suivez moi, l'empereur vous attend.

bonjour maréchal je suis heureux de vous revoir je vous suit allons voir l'empereur ensemble

Napoléon, après avoir été installé dans une chambre de l'auberge, se dirigea vers l'unique fenêtres donnant sur la route a l'extérieur, il pouvais voir quelque cavaliers montant la garde, d'autre, flambeau a la main repérais les alentours et disposait le dispositif de sécurité.

la pénombre de la chambre était eclairé d'un chandeliers a 3 branches d'où partait les quelque bougies consumé par le temps et d'un feu dans la cheminée qui répandait une douce lumière dans la pénombre de la pièces. un lit de paysan, une table de chevet et une table de bois, un mobilier simple dans cette petite pièces juste pour une nuit. cela lui fessait panser a son enfance dans la maison familial.

Debout a la fenêtre, une main derrière le dos, l'autre reposant sur le rebord de l'ouverture, sa mélancolie enfantine avait un peut vieillit depuis son ascension, la population l'adulait, ses hommes lui était dévoué, il pouvait être fière, il y mettait du cœurs a l'ouvrage, il n'avait pas fini et son dessein ne fessait que commencer.

un peut de repos ferait le plus grand bien a ses hommes ainsi qu'a lui, la journée avait été longue, et un diner pouvais amoindrire cette fatigue.le marechal Murat pouvais arrivé d'une minute a l'autre, il appela l'un des gardes a sa porte.

" allez voir le tenancier de cette auberges, qu'il nous fasse mijoter un bon ragout pour nous tous, prévenez moi des que se sera prêt, je descendrait au réfectoire"

" j'y vais de ce pas, majesté"

pendant que le soldat descendait a toute jambes les escaliers, il faillit bousculer deux homme qui montait.

murat suivais le maréchal de la garde de la veille qui l'emmenai voir l'empereur en montant un soldat qui etait a premiere vue presser bouscula les deux maréchaud qui montaient

voyons soldat que se passe t'il pourquoi tend de hâte et de plus vous bousculer deux maréchaux de l'empereur je vous pris de vous en excuser de suite

le soldat s'excusa et informa les maréchaux que c'était l'empereur qui lui avait demander d'aller voir le tenancier car l'empereur avait faim ainsi que sa sœur
murat se mis a rire et lui dis

aller soldat ne faite pas attendre l'empereur filer vous êtes toutes excuser mais regarder devant vous en descendant si rapidement

a vos ordres mon maréchal

murat et le maréchal Charles arrivèrent enfin devant la porte de la chambre de l'empereur Charles frappa a la porte en attendant que l'empereur leur disent de rentrer

charles frappa à la porte en attendant que l'empereur leur disent d'entrer.....

toc toc toc......

l'empereur est plutôt de bonne humeur icelieux maréchal, je doute qu'à part une petite réprimande il tienne rigueur de votre absence en début de voyage, après tout vous êtes là maintenant et c'est ce qui compte.

merci maréchal pour votre soutien mais il es vrais que se n es pas excusable j aurai dus prévoir et anticiper le voyage de l'empereur enfin une réprimande me soulagerai et si l'empereur voudrai que je rentre a paris je comprendrais

napoléon entendit toqué a la porte, serait ce déjà l'heur du diner? il s'était passer quelque minute depuis son ordre, il n'aurait jamais douté que cela puise aller aussi vite. cette auberge est admirable.

a ce laps de temps, il s'était découvert de son pardessus gris, mis au porte mentaux de la porte et déboutonné son col de chemise tout en enlèvent sa veste verte empire. en chemise, il remonta ses manches et commença a se préparer a se raser a l'aide de son nécessaire de voyage, tenue non protocolaire et irritant pour un empereur de sa stature mais quoi qu'il en pense, c'était un soldats et ses habits n'avait aucune importance.

tout en se badigonnant de créme a l'aide d'un blaireau il permis d'entrée.

"Entrez"

les maréchaux après avoir entendu l'empereur leur dire de rentrer ouvrirent la portes et pénétrèrent dans la chambre de l'empereur

bonjour empereur me voila comme prévus celons vos ordres mes soldats sont a vos ordres ainsi que moi

Impérator, permettez moi de prendre congés, je dois aller voir mes hommes et vérifier les cuisines ainsi que la nourriture qui va vous être servie.

Il vit entrer ses deux maréchaux, l'un de la veille garde et l'autre de la cavalerie.

"hé bien maréchal Murat, vous arrivé bien tard, juste pour l'heure du diner, vous vous été fait attendre, ou étiez vous passer, votre retard d'aujourd'hui doit vous faire comprendre que sur un champ de bataille rien n'est du au hasard, tout est préparation mais vous devez déjà le savoir"

tout en parlant, il continuai ses ablution, il était calme, aucune colère, aucune gène de sortait.

"veillez a l'avenir que cela n'arrive plut, et envoyer moi une missive pour me prévenir de votre retard, qu'ont ne nous 'y prenne pas a la dernière minute, vous pouvez disposer, Quant a vous Maréchal Charles allez y, nous mangerons ensemble puis nous repartirons, Murat nous ouvrira la voie jusqu'à Lyon a la villa Melzi."

à vos ordres.

charles parti de ce pas vers les cuisines et aussi voir comment se portent ses hommes.....

après avoir inspecté les cuisines et la nourriture, charles envoya son soldat apporter la nourriture tandis que lui même y apporta le vin et l'eau....

ouvrez la porte soldat nous sommes chargés.

à vos ordres

vous, posez ceci sur cette table et laissez nous.

bien maréchal

voilà Messire, salade verte, poulet de bresse sauce vigneronne et pommes de terres sautées, pain de campagne, gâteau au chocolat et comme boissons, eau fraîche et beaujolais.

ils se mirent à table et et se découpèrent les parts, charles servi le vin....

après avoir pris congé murat était aller voir ces hommes pour les avertir que c était a eux que l'empereur demandais d'ouvrir la route jusqu'à la villa Melzi

cavaliers l'empereur nous demande d'ouvrir la route pour Lyon jusqu'à la villa Melzi alors demain matin soyer près a partir je ne veut pas un seul problème je vous demande de plus d'être près au aurore car il ne faut pas faire attendre l'empereur

a vos ordres maréchal

les deux hommes mangèrent tranquilement pendant une heure ou deux quand l'empereur décida de repartir.....

à vos ordres Messire

soldats, veuillez débarrasser la table et rejoignez nous dehors.

bien maréchal

Messire, permettez que je vous précède pour raisons de sécurité.

Napoléon accepta sans discuter voyant son maréchal assurer sa sécurité le rassurai quelque peu....car on ne sait jamais....

Impérator, vous allez bien ?

l'empereur avait l'air pensif tout à coup, le maréchal ne l'avait remarqué que maintenant....

le maréchal Murat était près avec ces cavaliers et attendais que l'empereur ordonne de prendre la route

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