Salon des Marechaux

l'empereur, fidèlement escorté par un nombre restreint de soldats trié sur le volets, l'entourais formant une barrière étanche a toute agression extérieur arpentais le couloir qui allait de son cabinet privé au enfilade de salons prévue pour acceuillire un certain nombre de personnes officielle ou non.

la mine sérieuse et imperturbable, l'empereur en tenue de général, une main dans son gilet, l'autre derrière sur son dos, n'avait pas envie de plaisanter. encore moin aujourd'hui.

Arrivé a quelque bon pat de la double porte du salon des maréchaux, deux garde sortie du lot alla ouvrir simultanément les deux battants pour ainsi permettre a l'empereur de s'infiltrée en toute securite dans la pièces, une question de sureter mais aussi de spectacles pour impressionné le visiteur.

il vit, eclairé par les mince rayon de lumière venant de grande fenêtres vue sur jardins, un homme de stature moyenne, assez jeune qu'il l'attendait. son service de renseignement lui avait dit des chose sur ce garçon, des entecedants qui n'était pas alarmante mais bien admirables, et il voulait le voir pour se rendre compte, l'examiné, posé son jugement sur lui.

Napoléon, resta immobile quelque seconde afin d'habituer ses yeux a la lumière puis entra, suivie de quelque garde se posant au quatre coin des murs, son service de sécurité fonctionnais a merveille, les règles son faite pour les respecter et ils respectais ce code a la lettre.

l'homme, Heugéne de Beauharnais comme lui avait on dit, se tenais la, debout dos a un miroir accroché au mur. l'empereur savença prés de lui en le regardant attentivement dans le yeux puis de la tète au pied, une déstabilisation qui pourrais alors submerger le garçon de sentiments, il voulais voir son vrais visage, l'empereur ne parlai pas, voulant savoir comment son interlocuteur se présenterais...

Citation :

Eugène de Beauharnais, Colonel Général des Chasseurs sous vos ordres Altesse Impériale.

d'un salut militaire , il savait a qui il avait a faire, a un militaire de carrière, il l'observa marchant lentement de long en large observant les moindres détails, c'était donc un cavalier qui n'avait peur de rien

"Colonel Bauharnais, Votre tenue est parfaite, j'aime l'ordre et vous m'en faite honneur, entendons nous sur un point, vos fonction future différente soit elle mais dans son contexte diffère du métier de cavalier, qu'elle en est la raison de se soudain changement ?"

Un point de marqué lorsque l’Empereur le félicitait sur son uniforme pensait Eugène pas peu fier de ce dernier, il faut dire que l’habit Dolman de couleur vert naturel que portait les hussards
ainsi que certains officiers de cavalerie était du plus bel effet, cette veste avait quelque chose de particulier avec ses épaules capitonnées, ses brandebourgs affublés de boutons brillants
et sa pelisse portée sur l’épaule gauche laissant la droite libre de se servir d’un sabre différent des autres, obtenus par les dragons de Fimracon en 1673.

Ce fut avec une certaine assurance qu’il s’expliquait sur son envie de changement de carrière.

Voyez-vous Altesse, après avoir gravit les divers échelons depuis Sous-Lieutenant, passant par Lieutenant, Capitaine, Chef d’escadron, Colonel puis Colonel Général des Chasseurs,
ayant parcouru une bonne partie du globe, j’aspire à rester sur le territoire français afin d’évoluer vers une future carrière plus politique dont le poste de Grand Maréchal Générale
en chef des armée, Ministre de la guerre, serait je le pense un tremplin sans toutefois inciser dans mes origines militaires.

Eugène laissait une légère pause avant de reprendre ses explications.

Je pense que cette fonction tout comme vous l’avez énoncé diffère de la cavalerie, mais ce serait l’une des fonctions qui m’attire le plus actuellement.

Le jeune homme attendait les mots de l’Empereur, peut être avait-il dans l’idée d’une autre Fonction à lui proposer, il était toujours bon de connaitre le sentiment d’autres personnes,
qui plus est lorsque cette personne fut l’actuel chef de l’Empire.

pauline qui arrivait par les escalier maitait 4 a 4 les marches était essoufflé elle voulait voir son frère l Emereur le plus tot possible..

d un seul coup ce heurtât a un groupe de personne qui descendait les excaliers..

oups excusez moi ,

puis aperçue l Empereur , ..

qui la regardait d un air stupéfait...

a sire excuser moi mais il fallait que je vous vois de toute urgence ..

fait une' révérence puis je avoir un entretien avec votre majesté ..

elle se reprend et ce tien droite en regardant son frère avec les yeux brillant , et croisant les mains je vous en supplie
c est important..

mon cher frère j ai eu des nouvelles du roi de Naples , notre frère Josephe

allons dans votre votre bureau que je vous les montres ces messages...

Pauline regarde l empereur ..

et attend qu il lui réponde

pauline sourit a son frère et lui prend le bras et le suis dans son bureau.

voila mon cher frère , j ai reçue 2 messages de notre frère joseph ,

VOICI LE DERNIER
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Ma Soeur je voulait juste vous dire que se n'est pas une demande mais un ordre . Je suis l'ainé de la famille donc Chef de Famille .J'ai un devoir de vouss donnez des ordres .Père a toujours dit que je devait veiller sur la famille .UDonc je veux vous voir en Ete à Lyon ou sinon je vais en parler à Napoléon.Et sera d'accord avec moi .

Sa Majesté , Roi de Naples , Napoléon Bonaparte

le 12 Octobre 1804

à Naples au Palais de Caserte
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il veut que je vienne cet été a Lyon pour rencontrer son 1er ministre a qui il voudrais me mariée ,
mais je lui est répondu bien courtoisement que je ne voulais pas me mariée et que j était entrain de rénove une
auberge ,
alors il ma dit ce n ai pas une demande mais un ordre par ce qu il était le chef de famille ,

elle regarde napoléon ,

mais bon c est quand même vous mon cher napoléon qui est te l empereur

alors je vous demande humblement de ne pas le laisser me marié a un homme en plus que je ne connais pas

et moi je veut rester a Paris a finir de remette cette auberge en état

pauline regarde son frère

mon cher empereur qu en penser vous ??

elle le regarde avec des yeux supliant









[b]

en chemin, Pauline parla de son affaire urgente, il reflechie tout en posant ses mots.

"ne vous en faite pas, le roi de Naples bien qu'il soit notre frère, a du pouvoir qu'en sa province, il n'en a aucun ici et ni même sur notre famille."

ils s'approchaient des lourdes portes insonorisé en bois de chêne du cabinet privé, deux gardes surveillait l'entrée, dés que ces deux la vire l'empereur et sa sœur ils se mirent au garde a vous. l'un deux lui ouvrit, napoléon invita Pauline a entrée.

(rendez vous ici pour poster, merci http://imperium.4rumer.com/appartement-prive-de-l-empereur-f109/cabinet-de-travaille-prive-t22.htm)

pauline entre et regarde l Empereur,

a mon cher napoléon si tu savais comme tu me rassure ,

regarde autour d elle mai sne vois personne..

alors s approche de l empereur et lui donne une bise sur la joue merci mon cher frère,

mais je crois que tu vas avoir des nouvelles de Joseph..

bon et bien maintenant , que je suis rassuré je vais te laisser a tss occupations ..

elle se recule et fait une révérence

bonne fin de journée sire ..

Pauline part toute contente ,

elle tourne la tête , et dit je vais voir ou en est l AUBERGE DE L EMPEREUR ...

...

pauline prêté pour le voyage , ces malles faites ,

était venue dans le bureau de l empereur pour attendre le départ et lui dire au revoirs
car elle devais partir avec le Maréchal, en pensant a lui son visage d éclaircie d un sourire

s assoie dans un fauteuil en attendant, car elle ne savais vraiment pas a quel heure ils allaient partir ,

le Marèchal avait dit, à l aube mais bon ce n est pas une heure fixe ..

elle ferme les yeux et repense a la soirée avec son cher Eugène

pauline qui c était endormie , fut réveille pas un garde de l empereur,

se mit a en garde a vous devant la duchesse..

majesté le Maréchal vous attend le cortège et près pour le départ si vous voulez me suivre
,
Pauline saute sur ces pieds oui oui je vous suis mon brave ..

remet sa capeline entourés d une mousseline ,
elle c était habillé en raison du voyage d une robe de voyage et d un manteau gris souri et d une cape doublé de soie rose,
qu elle met sur ces épaules ..

suis le garde