Domaine de l'Espérance (Beauharnais)

Le convoi arrivait enfin au Domaine de l’Espérance,
Le maréchal avait investi en cette petite bâtisse du 15e siècle, il fut construit au cœur d’un des plus grands parcs forestiers autour de la ville de Lyon.
Ancien pavillon de chasse de l’une des vieilles familles bourgeoises de la ville qu’il rachetait à prix d’or, trois mois après son dernier passage dans la citée.
Haut de ses quatre tours et tourelles de granit blanc et beige apporté par bateau sur les chemins de hallages du Rhône depuis les carrières de Chassagny, un peu plus au sud de la ville.
La bâtisse avait été intelligemment orienté coté sud afin de pouvoir chauffer les diverses grandes pièces, les appartement du Maréchal sur l’aile droite donnait sur un magnifique
étang bleu turquoise du fait de ses fonds composé de schistes bleus ayant servi en certaines décorations intérieures.
A l’opposé, l’aile droite qui abritait la grande galerie et le salon polygonal jettait sa vue sur la partie boisé du Domaine, alors que dans la cour intérieur de magnifique espèce de fleur
de toutes couleurs formais jes magnifiques jardins.

La Cavalerie se dirigeait directement vers les Haras de Beauharnais, elle en avait prit l’habitude depuis les divers aller retours vers la Capitale, alors qu’Eugène approchait du carrosse de la duchesse afin de lui ouvrir le portillon, son Major d’homme accompagné de la cuisinière et de la bonne s’étaient précipité afin de les accueillir, mais surtout de pouvoir voir la jeune Duchesse,
nouvellement fiancée d’Eugène.

Nous sommes enfin arrivés ma Chère Pauline, si ses Dames veulent bien se donner la peine de descendre, je me ferais un plaisir de leur faire visiter ma propriété ainsi que mon domaine.

Pauline ce penche a la portière de la calèche car elle a vue tournée le convois dans une grande allée, Puis au bout de quelques minutes le convoi s arrête,
Le maréchal viens ouvrir la portière de la calèche, Pauline sourit prend la main qu il lui tend

Ho mon cher c'est une merveille votre propriété.

tourne la tête et vois les serviteur qui lui font une révérence, ho c est gentil merci beaucoup et leur sourit,
Regarde sa gouvernante,

Vous verrez avec ces braves gens Maria pour les malles.

Puis prend le bras de son cher Eugène, aller Maréchal faite moi faire le le tour du propriétaire
vous savez lui dit elle vraiment cet endroit me plais de plus en plus

Et ces fleurs magnifiques, quel goût vous avez mon chéri, ils se promenèrent ainsi un petit moment. Puis ils arrivèrent devant un lac,
Ho magnifique, elle laisse le bras du maréchal et cour vers le lac et croise les mains mon dieu mais c est vraiment une merveille,

Votre propriété mon cher est vraiment, je sais je me répète mais elle me plais au plus au point, vous êtes un homme de goût mon chéri.

Le regarde avec un sourire câlin.

malgré le soldat que tu es.

Vous avez entièrement raison ma Chère Pauline, faisons le tour des jardins il fait encore doux
en cette période et cet instant de détente ne sera pas pour me déplaire.

Eugène marchait au coté de Pauline, savourant ses instants de complicités, enfin ils se retrouvèrent seul avec elle, tout près de l’étang, admirant les dernier rayons de soleil qui traversaient tout juste les branchages de la forêt de cèdre bleu.

Croyez-vous que tout soldat que je suis, ne me permet pas d’apprécier les belles choses ma chère Pauline ?
Que je ne puisse faire ressortir mon cœur suite à la haine des champs de bataille ?
Les guerres n’ont pas encore anéanties mon gout de la vie, tu sais.

Eugène ne se permettait le tutoiement de la Duchesse que lorsqu'il n'y avait aucunes âmes aux alentours.

Domaine de l'Espérance (Beauharnais) Dsc00310

Pauline au bras du Maréchal continuait à faire le tour du domaine,
Elle regardait c était vraiment très beau et s emplissait les yeux de cette beauté l étang était aussi magnifique elle lui avait laisser le bras et courue comme une petite fille en tenant sa robe remonté un peut et ce laisse choir sur l herbe près de l étang et trempe une main dans l eau, mais elle bonne encore on pourrait si tremper les pieds pense t elle, c était pas l envie qui lui manquait, part moment elle était comme une petite fille gai et joueuse, mais sagement elle revient vers Eugène.

Elle remit sa main sur le bras d Eugène et lui dit, mais si bien sur mon ami je sais que meme soldat cela n empêche pas d aimer les belles choses , mais vous avez dut voire tellement d horreurs pendant ces batailles que votre cœur n aurait plus vue toute les belles choses, mais je vois Eugène qu il n en est rien et cela m apporte de la joie car moi qui aime les arts , la musique la peinture la musique j en suis heureuse, car nous somme sur la même voie,
Lui sourit, c est pour cela que mon cœur ne c est pas tromper..

Lève les yeux et regarde le soleil qui baisse a l horizon, elle frissonne un peut,
il commence a faire frais ne trouvez vous pas Eugène..

Le soleil se cachait gentiment derrière la forêt de résineux puis le froid de la saison commençait à rendre l’air de plus en plus frais.

Vous avez froid Pauline, venez rentrons nous mettre à l’intérieur, peut être auriez-vous envie d’une petite collation, une boisson chaude ou autre.

Les jeunes amants se dirigèrent vers la bâtisse, gravissant les larges marches de granits menant dans le hall d’entrée ou les attendaient, les valets en rangs d’accueils pour l’occasion.
Ils saluaient la jeune femme ayant eu quelques mots des fiançailles du jeune couple.

Altesse de Toscane, bienvenue au Domaine de Beauharnais, c’ est un réel plaisir de vous accueillir en ses lieux et nous sommes tous à votre service.
Monsieur bien le bonsoir, avez-vous fait bon voyage ?

Oui mon ami en effet, il commence a faire frais, et un thé chaud me conviendrait bien, je vous remercie Eugène,

Ils s approchèrent de l entrée tous les domestiques en rang, saluaient pauline elle leur sourit en les entendant lui souhaité la bien venue, tend la main à chacun en leur disant un petit mot de remerciement, oui merci très bon voyage.

Puis Eugène et Pauline entre dans la superbe demeure.

La gouvernante était là,elle attendait Pauline, elle fait une révérence Altesse, Maréchal bonjour,
Voulez vous me donner votre manteau de voyage Altesse et votre capeline,

Oui merci Maria elle enlève son manteau et sa capeline puis toujours coquette se remet les cheveux en place d un geste léger et vite fait.

Mon cher Eugène je vous suis,

Regarde plus personne, se lève sur le bout de ces pieds et lui donne un léger baiser sur la joue, je vous adore mon cher Maréchal, puis le suis.

Le Maréchal regardait le domestique qui avait la fonction de Major d’homme.

Le voyage ne s’est pas trop mal passé, je vous remercie Edouard.
Pourriez-vous nous servir une collation dans le petit salon bleu, et veuillez attiser le feu dans l’âtre s’il vous plait, j’ai peur que la Duchesse ne prenne froid.

Traversant le hall et la grande salle à mangé, le jeune couple entrait et s’installait sur les fauteuils du petit salon ou pendait un lustre majestueux qui compensait
la faible lueur distribué par les grandes fenêtres ornées de d’épaisses tentures marine.
Elle dégageait une certaine chaleur malgré la froidure de sa couleur.

Vous allez, ici, vous réchauffer ma Chère Pauline et vous vous sentirez beaucoup mieux.

Domaine de l'Espérance (Beauharnais) Salon_11

Pauline s était arrêtée quelques instants avant de s asseoir, et regardait tout autour d elle,
Un feu crépitait dans la cheminée et cela donnait une douce chaleur et une bonne odeur dans la pièce

Eugène votre salon hum, cette couleur de bleus dégradée, vous savez mon cher que le bleu est une de mes couleurs préférées, vous avez un don pour savoir ce que j aime.

Puis elle s assoie, et ce feu dans la cheminée est très agréable, rapproche un peu son fauteuil à coté d Eugène.
Un valet arrive un plateau composé de thé, chocolat et des petites pâtisseries de toute sorte, puis demande en regardant la Duchesse.

Que prendra son altesse ?

Pauline lève la tête et répondit

Du thé avec un nuage de lait,

Maréchal je suis de plus en plus charmée par votre demeure.

Elle boit quelques gorgées de thè. puis regarde le Maréchal

Au fait, Eugène quand pensez vous invité l Empereur et Joseph ?

charles arriva calmement en admirant le paysage et la vue de la demeure des Beauharnais qui s'agrandissait au fur et à mesure que le maréchal s'approchait des lieux, l'empereur devrait bientôt arriver et un maréchal de la vieille garde doit prendre les devants pour vérifier les alentours et inspecter les lieux de couche (excuse aussi pour voir ce cher Eugène)......

Bonjour mon brave ! pouvez vous m'annoncer à votre maître ? Charles François d'Augerau duc de Castiglione et maréchal de la vieille garde (je sais ça claque comme ça....), je vous prie.

j'y vais Messire j'y vais de ce pas vous annoncer.

bien.

charles se mit pied à terre et continua à côté de son cheval en marchant tranquilement et imaginant la tête d'Eugène par cette visite surprise....

Le Maréchal en chef des Armées détournait son regard vers Edouard passant sa commande à son tour.

Apportez-moi deux doigts de cognac Edouard, je vous pris.

Très bien Altesse.

Puis le valet sortait de la pièce rapidement.
Enfin, le jeune homme repris sa discussion avec la duchesse qui était restée en plan.

Je suis heureux que ce domaine vous plaise Chère pauline.
Non, je n’ai pas encore envoyé de missive à l’Empereur, je pense pouvoir le faire dans l’après-midi, j’avais pensé les faire venir samedi en quatre décembre, qu’en pensez vous ?
Cela nous laisserait le temps pour les préparatifs.

Sur ses paroles, l’un des valets affilié à l’accueil des visiteurs du domaine s’approchait du Maréchal lui chuchotant que le Maréchal de la Vieille Garde était présent
et demandait audience auprès de lui.

Charles François d'Augerau duc de Castiglione et maréchal de la vieille garde, vous me dites qu’il est ici ?
Faites entrer ne le faites pas attendre, je vous pris.

Puis Eugène se levait de sa chaise époussetant son uniforme tout en attendant son entrée. Se demandant quelles fut les raisons de sa visite en ses lieus.

La duchesse écoutait le maréchal lui réponde au sujet de sa demande pour la visite de l empereur, tout en buvant son thé.

Quand un valet entra en annoncent une visite,

Le Maréchal ce lève avec empressement en entendant le nom du visiteur

Pauline intriguée pause sa tasse et relève la tête et regarde vers la porte.

Une fois présentable, Eugène s’adressait de nouveau à sa jeune et ravissante compagne.

Pauline, le Charles François d'Augerau duc de Castiglione nous rend visite ici même, nous allons dès à présent l’accueillir en cette alcove, cela ne vous met pas trop malalaise j’espère,
au cas ou, je le recevrais en une tout autre pièce.

Pauline écoute le Marèchal qui lui annonce le non du visiteur,

Elle se lève et dit :

non non mon chèr Eugène au contraire j aimerais connaitre toute les personnes que vous connaissez et qui son près de l Empereur.

Donnez moi une minute si vous le voulez bien.

vas vers un miroir qui ce trouve dans le salon et regarde si elle est présentable défroisse un peut sa robe de voyage,

S approche , voila Maréchal je suis prête lui dit elle en souriant,

charles fut amené par le valet en charge des visiteurs et vit le maréchal de beauharnais se tenir devant lui avec une expression de surprise et d'interrogation sur le visage....

en faisant le salut militaire maréchal De Beauharnais quel plaisir de vous voir mais ne pu s'empêcher de lui donner une belle poignée de main,

belle demeure que vous avez icelieu mon ami, vraiment ! charles regarda à la droite du maréchal et vit une gentedame se dresser gracieusement devant lui.

Hum hum se raclant la gorge, Bonjour gentedame veuillez m'excuser je ne vous avait pas vu, il est vrai que mon enthousiasme vous a quelque peu occulté votre présence mais cela fait un moment que je n'ai vu Eugène et en dehors de Paris nous nous ne voyons pas.

comment allez vous en cette si belle journée ?charles ne savait plus vraiment à qui poser la question mais la posa quand même....

Intrigué, le Ministre serrait la main du responsable de la Vieille Garde, une poignée de main chaleureuse.

Comment allez-vous très cher Duc ? Je vous retourne le compliment.
Je vous présente la Duchesse de Toscane, Pauline Bonaparte, sœur de notre bien cher Empereur.
Le Duc à participé à la grande bataille d'Aboukir tout comme moi, bataille sanglante ou nous perdîmes le plus gros de la marine, il y a maintenant six ans.

Dit-il en se retournant avec un petit sourire auprès de sa tendre Pauline.

J’entrevois l’idée de l’arrivée de son Altesse Impériale sur les terres lyonnaise, de part votre présence ici même mon cher ami.
Comment se porte t-il ?

Ma foi, il est en pleine forme vous verrez.

charles parla plus sérieusement, d'abord le travail.

Je suis venu en visite non officielle pour voir comment est agencé votre domaine, le maréchal Murat est présentement avec l'empereur dans la villa Mezzi, ainsi j'ai préféré venir avant afin de voir l'organisation de vos domestiques, les appartements et les jardins.

charles esquissa un sourire sachant de réputation que chez les Bauharnais : bien recevoir un visiteur est comme faire la guerre, faire bien ou sinon ne rien faire.

Je dois voir votre Majordome, garde chasse en chef, gouvernante et chef de cuisine s'il vous plaît Monsieur le Duc pour qu'ils me fassent un plan détaillé de leur organisation journalière.

Ainsi j'irai voir les appartements avec votre Majordome, gouvernante et chef de cuisine.

Votre garde chasse doit être je pense votre chef de la sécurité du domaine ou avez quelqu'un qui remplisse cette fonction afin que je puisse le voir ?

Après cela nous pourrons discuter de choses plus personnelles si vous le voulez bien Eugène.

L’heure se faisant tardive, le Maréchal toujours surpris de part la visite de Charles en sa demeure surtout pour des fins de visite de son Domaine, repris d’un ton cordiale et bienséant.

Hé bien, mon cher ami, tout ce programme qui me parait fort longuet, pourrait bien attendre demain, voyez-vous la Duchesse et moi-même, sommes arrivés dans l’après midi,
depuis notre retour d’une escapade dans les jardins, étions à cet instant sur le point de prendre une collation, joignez-vous à nous et restez une nuitée au domaine,
je ne vous cache pas être un temps soit peu fébrile, de plus vous n’allez pas retourner à la Villa Melzi sans accepter mon hospitalité très cher.

Le Maréchal ayant bien senti le pourquoi de la venue de son Altesse Impériale, surement afin de prendre connaissance de sa manufacture d’armement installée non loin de cet endroit, pensait-il.

Pour autant que j’aie bien saisi le sens de votre visite, l’Empereur me fait le grand honneur de venir en ses lieus ?

Nous pourrions de ce fait nous occuper de la problématique de la sécurité dès l’aube, et je vous ferais part de tous les documents en ma possession.
Vous pourrez discuter avec toutes les personnes que vous choisirez.

N’ais-je point raison ?

Puis sur ses mots Eugène détournais son regard vers Pauline lui adressant un petit clignement d’œil. Il Préférait rester près de sa future légitime plutôt que de tourner dans toute la bâtisse
afin de trouver quelques failles dans la quiétude de l’Espérance.

He bien, chère Duchesse, l’arrivée de votre frère l’Empereur m’enchante au plus haut point.

Pauline en entendant la réponse de son cher Eugène, pousse un soupir de soulagement et lui sourit.

Et bien sont frère est donc déjà arrivé ! Je suis contente de le recevoir bientôt

Ce visiteur pense t’elle, n’a pas tiqué en entendant son titre.

Pauline c était mise un peut en retrait pour laisser les 2 hommes parler, de la protection de l Empereur, le duc venais pour tout visité mais heureusement, le Maréchal dévia un peut le duc de son projet de visité tout le domaine à l instant.

La jeune Duchesse s avance toute souriante et dit.

Mais oui monsieur le Duc joignez vous à nous. Je ne pense pas qu’il y a des ennemis cachés dans le domaine, mon frère l Empereur je pense sera en haute sécurité ici, et vous aurez le temps de tout supervisé un peut plus tard.

Puis elle s assied, en attendant que le Duc donne sa réponse.

...

Le Maréchal de la Vieille Garde s’était adressé au Ministre sous la dénomination de Duc, et Eugène eu un léger sourire envers sa personne, le duc ne semblait pas savoir qu’il fut en face
de Son Altesse Impériale Eugène Rose de Beauhanais, Prince français, vice-roi d'Italie et Ministre de la Guerre.
Et de Son Altesse Impériale Pauline Bonaparte, sœur de l’Empereur, Princesse des Français.

Mais il ne lui en tenu aucune rigueur ni remontrance, le couple n’était pas, sur tout en cet endroit à cheval sur le protocole.

Acceptez donc Charles, de toutes manières, l’Empereur attend mon invitation à le recevoir ici même lorsque tout serait près, ne vous inquiétez pas.

charles vit un petit malaise s'installer et réfléchi quelques instants d'un air un peu gêné entre le duc de si et le duc de ça, charles ne savait plus où donner de la tête avec la sécurité de l'empereur....

attendez une minute Eugène, il continue à réfléchir et compris la bourde qu'il avait fait mince je me suis encore trompé,il s'écarta d'un pas et fit révérence à la dame devant lui.

veuillez accepter mes plus plaintes excuses Madame cela ne se reproduira plus, si vous juger qu'il doit y avoir des représailles suite à ma faute ne vous gênez pas je les accepterai, à la vieille garde nous savons prendre la mesure de nos responsabilités.

charles se tourna vers Eugène et sourit en hochant la tête...

à vous aussi mon ami je n'ai pas l'habitude de vous voir à votre titre actuel, veuillez les accepter, je suis très pris en ce moment et la veille garde commence à me manquer, je me demande comment se déroule les entraînements là bas.

à compter que tout doit être parfait pour la venue de notre empereur ce qui m'occupe la plus grande partie de mes pensées voyez vous.

charles se repris et eu d'autres questions qui lui venait à l'esprit suite à ce petit incident...

Volontiers pour la collation , merci de votre invitation, je vous suit.

La duchesse qui c était relevée, en souriant fait signe au duc de s asseoir,
Puis à son tour s assois.

Pendant ce temps le Maréchal de Beauharnais sonne un valet pour qu il apporte un autre plateau.

Eugène ne fit pas fi des propos de son hôte Alors qu’il regardait sa douce qui s’était redressée pour un geste de sympathie qu’elle exécutait avec grâce,
et repris la conversation comme si de rien n’était.

Hé bien, cher Duc, que puis je vous offrir ?
Un verre de cognac pour m’accompagner, un thé ?

Eugène fit signe au valet afin de faire servir le Maréchal.

Et comment vas cette chère bonne Vieille Garde ? Sans entrer dans les détails évidement je vous pris, penser qu’une jeune femme nous accompagne
et je ne voudrais en aucun cas terrifier ma future avec de sordide histoire de champs de bataille.

charles fut soulagé....

un verre de cognac sera parfait et quelques mignardises sans trop abuser.

il regarda Eugène avec un sourire et l'entendit parler de la vieille garde, des nouvelles ? toujours.

oh vous savez ce que c'est, la veille garde n'est pas si différente de la grande armée mon prince, ce sont juste des vétérans qui ont déjà fait leurs preuves rien de plus.
en ce qui concerne les nouvelles, les locaux sont mis en place, des stratégies défensives sont pour le moment validées et essayées au moment même où nous parlions.

voilà. son expression du visage devient subitement plus doux....

mais vous dites moi, si ce n'est pas indiscret, comment vous êtes vous rencontrés tous les deux altesses ?

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